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Église et médecine sur l’avortement

  • par

VETOCHKINA Oulyana Vladimirovna, SMIRNOVA Anna Vladimirovna
III année, faculté de médecine générale
CHTCHOUKINA Evgenia Georgievna – Candidate en sciences psychologiques, professeure agrégée du département. de pédagogie et psychologie
Université de médecine de l’État du Nord,
Arkhangelsk

L’avortement est une interruption artificielle de grossesse, dans laquelle une personne interfère avec le cours naturel de la vie, la perturbe. Médicales, psychologiques, sociales, religieuses – telles sont les conséquences négatives auxquelles une femme qui a subi un avortement est confrontée. L’opinion de l’Église sur l’interruption volontaire de grossesse est sans ambiguïté et est considérée comme un péché grave, dont la confirmation peut être trouvée dans les Saintes Écritures et les paroles des saints pères. Les raisons de l’avortement sont une question matérielle, l’inconscience d’une femme du péché de son acte. De nombreux mouvements organisés (par exemple, For Life) se lèvent maintenant pour protéger la vie, des actions sont menées tant au niveau fédéral que régional.

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